jeudi 31 décembre 2009

Sécurité informatique: les attaques ciblant les données de l'entreprise ont presque doublé en 2009 dans le monde





Jeudi 24 Décembre 2009
En pleine crise économique, les dirigeants renforcent le pilotage économique de la sécurité de l'information et mettent l'accent sur les risques.

L'étude mondiale annuelle de PricewaterhouseCoopers sur la protection de l'information et la sécurité des systèmes d'information met en exergue de fortes attentes des dirigeants en matière de sécurité. Face à une augmentation notable des incidents de sécurité, la majorité des décideurs dans le monde souhaitent maintenir ou augmenter leurs budgets sécurité (63%). A l'inverse de la tendance globale, la France se démarque par un fort infléchissement des moyens accordés à la sécurité et une perception des risques moins « alarmiste » que la moyenne des personnes sondées.
Des budgets dédiés à la sécurité préservés voire en augmentation malgré la crise économique et financière
On distingue dans l'étude de cette année une augmentation notable des incidents de sécurité (+44% pour les attaques ciblant des données de l'entreprise) ainsi qu'une hausse de leurs impacts en termes de perte financière, d'atteinte à l'image de marque et de la destruction de valeur pour les actionnaires (+17,5% en moyenne).
Les dirigeants anticipent un renforcement des contraintes réglementaires en matière de sécurité, et sont particulièrement sensibles à la fragilisation des partenaires économiques et technologiques, ainsi qu'à un risque en hausse pesant sur la sécurité de leurs informations faisant suite à une contraction de leurs effectifs.
Face à ces risques et malgré un contexte d'instabilité, une majorité des décideurs (63 %) maintient ou augmente leurs budgets sécurité bien que la tendance générale au sein des entreprises soit à la réduction des dépenses. En France, à l'inverse de la tendance globale, on constate un fort infléchissement des moyens accordés à la sécurité (seuls 35% des décideurs déclarent vouloir y consacrer d'avantage de moyens en 2010) et plus globalement, une perception des risques moins « alarmiste » que la moyenne des personnes sondées (43% des participants estiment que les risques liés à la sécurité de l'information ont augmenté, contre 32 % en Europe et 25 % en France).

« A un niveau mondial, on constate finalement que la crise économique a peu d'impact sur les budgets sécurité : la sécurité reste une priorité pour les décideurs.
On a dépassé le réflexe de la seule réponse technologique pour le traitement de la sécurité pour revenir à une approche par les risques qui permet d'identifier les faiblesses à corriger et de définir les investissements à mettre en œuvre » analyse Philippe Trouchaud, associé de PwC responsable de l'activité conseil en sécurité informatique.


Une augmentation significative des impacts financiers faisant suite à des incidents de sécurité

Sur un plan technique, l'étude met en évidence une augmentation significative des attaques complexes ciblant des données de l'entreprise dans le monde (+44 %) et en Europe (+7%).
La France se dit, elle, moins touchée (-20%) mais cette « apparente » régression trouve sans doute des explications dans le fait que 60% des répondants français ne savent pas dire s'ils ont subi des incidents de sécurité, contre 50% en Europe et 39% dans le monde. Les données issues du système d'information et des systèmes de sécurité sont encore nettement sous-exploitée.

Même si les conséquences liées aux incidents de sécurité ne sont pas encore toutes évaluées (impact de la fraude notamment dont les conséquences ne sont évaluées en générale que plusieurs mois après la détection des incidents), les personnes interrogées constatent d'ores et déjà une tendance à la hausse des impacts en terme de pertes financière (+7,7% des répondants dans le monde, même chiffre en France), d'atteinte à l'image de marque et à la propriété intellectuelle (+11% des répondants dans le monde, +12 % en Europe et +7% en France), de perte de valeur pour les actionnaires (+33% des répondants dans le monde, +25% en Europe et +95% en France).

Des attentes fortes des décideurs

Les attentes des directions générales se sont renforcées cette année concernant la sécurité de l'information et du système d'information, dans un contexte où les risques et la sinistralité des entreprises sont en forte augmentation : la sécurité est la priorité pour 58% des dirigeants sondés (CEO) à égalité avec la nécessité de se conformer à des contraintes règlementaires plus complexes.

Ainsi, 43% des personnes interrogées dans le monde estiment que les menaces liées à la sécurité de l'information ont augmenté, contre en 32% en Europe et 25% en France. Ce chiffre passe de 43 % à 50% pour les seuls dirigeants (CEO).

43% des personnes interrogées dans le monde estiment que les risques liés à la protection des données (vol, confidentialité, intégrité) se sont accrus en raison de la contraction du marché de l'emploi, contre 32% en Europe et 25 % en France.

Enfin, 43% des personnes interrogées mettent en exergue un accroissement des risques en matière de sécurité en cas de défaillance des partenaires économiques et technologiques : ils sont respectivement 33% en Europe et 31% en France à penser de même.


Le retour en force d'une approche par les risques et le renforcement du pilotage économique de la sécurité

En 2010, les directions générales veulent identifier clairement leurs risques et s'assurer que tout est « sous contrôle ». La priorité est donnée à la protection des informations (84% dans le monde, 71% Europe, 55% en France), à l'identification des risques clés et au pilotage en conséquence des investissements (83 % dans le monde, 69% en Europe, 53% en France), au renforcement des fonctions de contrôle et de gestion des risques (82% dans le monde, 67% en Europe et 52% en France.)

Les tendances nouvelles pour l'année 2010

Les préoccupations clés pour l'année à venir sont la protection des informations et des données, la couverture des risques liés aux réseaux sociaux, l'évaluation des risques sécurité liés à l'usage du « Cloud Computing » (« hype curve ») et plus globalement des risques liés à la virtualisation.

« L'accent est mis dans l'étude de cette année sur une approche stratégique de la sécurité basée sur les risques et non plus sur une approche « systémique » basée sur le déploiement de technologies qui ne permet pas à elle seule de s'assurer que ce qui doit être protégé l'est effectivement et au bon niveau » commente Philippe Trouchaud, associé de PwC responsable de l'activité conseil en sécurité informatique.


À propos de l'étude Global State of Information Security 2010


Le « Global State of Information Security 2010 » est une étude mondiale de PricewaterhouseCoopers, du CIO Magazine et du CSO Magazine. C'est en quelques chiffres : la 11ème année consécutive de participation de PwC, 7ème année avec les magazines CIO et CSO Plus de 7200 réponses de PDG, Directeurs Financiers, DSI, RSSI, et responsables IT et sécurité répartis dans plus de 130 pays, dont 2802 en Europe et 476 en France. Plus de 45 questions relatives à la sécurité de l'information et de la protection des données privées


jeudi 17 décembre 2009

La dématérialisation de la procédure en matière civile


Lors d'une conférence de presse le 11 décembre 2009, le Premier président de la Cour de cassation a présenté la dématérialisation de la procédure en matière civile devant la Cour de cassation, et ce, moins d'un an après le début de sa mise en oeuvre, « un signe très fort de tradition et de modernité », selon maître Didier Le Prado, président de l'Ordre des avocats au Conseil d'État et à la Cour de cassation.
Dès 2006, il avait été décidé entre la Cour de cassation et les avocats aux Conseils que les actes déposés sur support papier seraient doublés d'une transmission sous forme dématérialisée. La communication électronique proprement dite a débuté en 2008, à la suite d'une convention signée en décembre 2007 entre le Premier président de la Cour de cassation et le président de l'Ordre des avocats aux Conseils, prévoyant la possibilité de former, en matière civile, des pourvois par voie électronique, et de les transmettre sous forme numérisée. Un arrêté du 17 juin 2008 avait ensuite autorisé une mise en oeuvre anticipée de la communication électronique devant la Cour de cassation.
Après une phase d'expérimentation concluante, l'accès à la dématérialisation a été ouvert depuis le 1er janvier 2009 à tous les cabinets d'avocats aux Conseils. Ceux-ci peuvent donc désormais suivre en temps réel les différentes étapes de la procédure, transmettre pourvois, mémoires et pièces et accéder à tous les éléments du dossier.
Une clé USB permet la signature électronique des actes de procédure, pourvois, mémoires, et la transmission à la Cour de cassation par l'intermédiaire d'un tiers significateur, la société CertEurope.
La signification électronique est désormais possible : la première est intervenue le 3 décembre 2009.
Les magistrats quant à eux, disposent d'un "bureau virtuel", accessible de la Cour de cassation elle-même, mais également de leur domicile. Ils accèdent sous forme dématérialisée à l'intégralité des documents afférents au procès, cet accès étant adapté en fonction de la qualité de l'utilisateur : ainsi les avocats généraux n'ont pas accès aux avis et projets d'arrêts des conseillers rapporteurs, couverts par le secret du délibéré ; de même, le Service de Documentation et d'études, qui procède à l'orientation des dossiers en fonction des moyens des mémoires, a simplement besoin d'accéder aux mémoires ampliatifs.
Chaque conseiller rapporteur peut visualiser toutes les procédures de la Cour, ses propres dossiers en cours, les audiences passées et à venir, l'avis de l'avocat général, les projets d'arrêts. Il bénéficie également d'une part de l'accès aux bases de données des éditeurs juridiques, et, d'autre part, de la base de données des arrêts de la Cour de cassation.
Toutes les chambres civiles sont équipées d'ordinateurs, ce qui permet, notamment, en cours de délibéré à chacun des magistrats de travailler sur le même projet d'arrêt, et d'effectuer en temps réel les modifications nécessaires, le texte définitif étant ensuite transmis au greffe, et mis à disposition des avocats aux conseils dès le prononcé.
La Cour de cassation devient ainsi la première juridiction en Europe à fonctionner de manière totalement dématérialisée en procédure civile : ce sont 80 % des pourvois qui sont reçus et signés électroniquement, l'objectif étant une dématérialisation totale dès janvier 2010. Cette évolution importante a été rendue possible et rapide par une étroite collaboration entre les magistrats et les avocats aux Conseils, dans un domaine où la représentation obligatoire est la règle, et permet aujourd'hui, sur une dizaine d'années, de réduire quasiment de moitié le nombre d'affaires en attente d'être jugées, le délai de traitement lui-même étant passé de 19 à 12 mois sur la même période.
 
Source
Conf. de presse, 11 déc. 2009

vendredi 27 novembre 2009

Trouver le bon hébergement ezpublish

Qui possède un site sous ezpublish devra trouver un hébergement ezpublish pour disposer de la meilleure offre d'hébergement ezpublish. Dans ces cas les critères de choix doivent être précis pour choisir un hébergement Ez Publish.




eZ Publish hébergement est une solution de Gestion de Contenu Open Source appréciée de milliers d'entreprises et organisations dans le monde. Il vous permet de développer des portails de news, des sites web corporate, des intranets web, des boutiques en ligne et des portails média. eZ Publish hébergement est 100% Open Source, disponible soit gratuitement soit dans le cadre d’une solution professionnelle “eZ Publish Premium” incluant support , garanties et maintenance.

vendredi 20 novembre 2009

E-procurement dans le secteur public

Le projet de plateforme standardisée européenne d’e-procurement pour le secteur public entre dans sa première phase de conception. Cette nouvelle infrastructure va faciliter la gestion des appels d'offre du secteur public des états membres de l'Union Européenne.




Le projet de plateforme commune standardisée pour l'e-procurement du secteur public européen, permettant l'échange de factures électroniques et autres documents commerciaux, vient de franchir un nouveau palier. Basware, éditeur leader en solutions purchase-to-pay et conseillé technique clé sur l'e-procurement pour le Ministère des Finances en Finlande, a travaillé avec ce dernier pour développer le cahier des charges technique et le pilote de la plate forme PEPPOL (Pan European Public Procurement On-line), conçue pour permettre à toutes les entreprises européennes d'utiliser une base commune pour répondre électroniquement aux appels d'offres publics de l'UE.
Démarré en mai 2008, le projet PEPPOL est dirigé par la Commission Européenne ainsi qu'un consortium de 19 représentants de 13 pays. Cette initiative propre à l'Union Européenne a pour but d'obtenir une plus grande transparence et efficacité du procurement du secteur public. Quelle que soit sa taille, n'importe quelle société pourra répondre aux appels d'offres publics publiés électroniquement, envoyer des documents électroniques aux institutions publiques ainsi que gérer le processus entier du procurement depuis leur propre infrastructure vers d'autres infrastructures nationales. Le projet est étroitement lié à la réalisation de la directive de service de l'UE pour améliorer l'efficacité du marché intérieur de l'Union. Le budget total de ce projet est de 30,8 millions d'euros et devrait être complété à la fin 2010.
« Alors que les gouvernements sont les plus gros acheteurs de l'UE, ils restent en retard par rapport aux pratiques de l'industrie dans le domaine des échanges de données électroniques avec les fournisseurs, » commente Esa Tihilä, SVP Basware. « Notre gamme de services Basware Connectivity permet aux acheteurs et fournisseurs du secteur privé d'échanger facilement factures et documents électroniques. L'expérience des meilleures pratiques que possède Basware est donc primordiale pour la création de ce standard Européen d'e-procurement ouvert. Les entreprises qui ont déjà en place des solutions électroniques seront les mieux équipées pour bénéficier de cette nouvelle plateforme européenne. Nous avons travaillé en étroite collaboration avec le Ministère des Finances en Finlande et l'équipe en charge du PEPPOL pour créer les spécifications techniques qui offriront une interopérabilité à travers le transport commun des informations, du co
ntenu et des processus standards. Ce projet promet d'ores et déjà de belles choses, comme le prouve le lancement de la première phase pilote. »
Pour le moment, très peu d'achats du secteur public sont réalisés en dehors des frontières nationales. « Le projet PEPPOL est un élément clé du processus de ce changement. Pour créer une concurrence saine, il est important que les Etats de l'Union offrent la capacité à leur secteur public de partager des documents électroniquement. PEPPOL est un projet collaboratif étudié pour améliorer la compétitivité et augmenter l'efficacité des processus de procurement du secteur public de l'UE. Basé sur une plateforme commune, PEPPOL doit permettre au secteur privé d'utiliser le réseau, tout comme il permettra d'ouvrir de nouveaux marchés aux PME en ouvrant leurs frontières, » déclare Olli-Pekka Rissanen, special adviser au Ministère des Finances en Finlande.
Cette nouvelle infrastructure de Procurement est prévue opérationnelle pour fin 2010. Basée sur des standards ouverts, elle sera indépendante des opérateurs, ce qui assure des prix ouverts à la concurrence. En plus de la Finlande, le consortium gérant le projet inclue la Norvège, le Danemark, l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Autriche, la Hongrie et l'Italie.
À propos de Basware
Basware est le leader global des solutions Purchase to Pay (« de l'achat à la facture ») avec plus de 1500 clients et 850,000 utilisateurs répartis dans plus de 50 pays à travers le monde. Les solutions Basware automatisent les processus financiers « métiers » sur toute la chaîne Purchase to Pay depuis le Sourcing jusqu'au paiement des factures et créent de la valeur en apportant conformité, contrôle, économie et productivité, ainsi qu'un rapide retour sur investissement. Les solutions Basware sont distribuées et implémentées en Europe, Etats-Unis et Asie-Pacifique à travers un large réseau de bureaux Basware et partenaires agréés. En 2008, le chiffre d'affaire a atteint 86 millions d'Euros. Fondée en 1985, Basware Corporation est une société cotée sur le marché boursier du NASDAQ OMX Helsinki Ltd. Son siège social est situé en Finlande et elle compte sept filiales en Europe et une aux Etats-Unis d'Amérique.
Plus d'informations sur www.basware.fr

jeudi 19 novembre 2009

Marchés publics : dématérialisation au 1er janvier 2010



La direction des affaires juridiques du Minefe a rappelé les nouveaux droits et obligations des acheteurs en matière de dématérialisation des marchés publics.
L'acheteur pourra imposer la transmission électronique des candidatures et des offres (CMP, art. 56 II 1°) à partir du 1er janvier 2010.

Par ailleurs, pour les marchés supérieurs à 90 000 €, le pouvoir adjudicateur devra publier l'avis d'appel public à la concurrence et les documents de la consultation sur le profil d'acheteur (CMP, art. 40 et 41). Le profil d'acheteur est un site, généralement appelée « plate-forme », accessible en ligne, par l'intermédiaire du réseau Internet, offrant toutes les fonctionnalités nécessaires à la dématérialisation des procédures : au minimum, information des candidats et réception des candidatures et des offres. Le site Internet d'une collectivité ne peut être qualifié de profil d'acheteur que s'il offre l'accès à ces fonctionnalités.

Pour les marchés informatiques, la transmission dématérialisée des candidatures et des offres s'impose à l'acheteur et aux candidats (CMP, art. 56 - II - 2°).
Le Minefe rappelle enfin, que l'acheteur est obligé de recevoir les candidatures et les offres transmises par voie dématérialisée pour les marchés formalisés, depuis le 1er janvier 2005 (CMP, art. 56 I, al. 4).
 
Source
http://www.minefe.gouv.fr

lundi 16 novembre 2009

Virtualisation du stockage, Contrôle et Gestion du Stockage, Allocation Dynamique des Ressources, Haute Disponibilité et Protection des Données en Continu, Solution de Reprise d'Activité

Aktea promeut la virtualisation du stockage, et donc l'offre DataCore, au cours d'un séminaire sponsorisé par son distributeur, Magirus France. RDV le 17 Novembre
Forte de son expérience éprouvée et de son expertise de haut niveau dans le domaine de la virtualisation du stockage, l'équipe d'Aktea, assistée du renfort technique et commercial de DataCore, convie ses clients et prospects à une demie-journée de présentation, de démonstration et d'échange dans le magnifique cadre du Golf de la Porcelaine - Célicroux - 87350 PANAZOL -
Au programme, à partir de 9h30, une présentation DataCore (Solutions de Virtualisation du Stockage, Contrôle et Gestion du Stockage, Allocation Dynamique des Ressources, Haute Disponibilité et Protection des Données en Continu, Solution de Reprise d'Activité) suivie d'une présentation Riverbed® (Solution d'Optimisation WAN). Démonstration Produits et Q/R. Déjeuner.
Pour toute information complémentaire: ian.caupene@aktea.fr Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
http://www.aktea.fr/default.asp

Rendez-vous à Demat Expo avec Alma Conseils et Services

E BUSINESS EVENTS en partenariat avec la FNTC, organise pour la 6eme année consécutive DEMAT EXPO, les 1er et 2 décembre 2009, à la Grande Arche de la Défense à Paris.









L’événement réunira 80 exposants, 80 conférenciers et 4000 professionnels (Entreprises et collectivités ; décideurs et responsables techniques) attendus sur les 2 jours autour des projets de dématérialisation dans les entreprises et dans les collectivités.
Alma Conseils et Services, partenaire et expert de la FNTC vous invite POUR UNE RENCONTRE lors du salon Demat expo pour enrichir votre réflexion autour de la dématérialisation des FACTURES, le cadre règlementaire, STAND FNTC Pôle expert Stand 77

Cette zone expertise permettra d’accueillir des experts de la dématérialisation : technique, conseil, gestion de projet et juridique

Les thèmes abordés cette année (nous retrouvons les grands thèmes de l’édition 2008 actualisés) :

- Dématérialisation des factures

- Dématérialisation de flux et de documents (contrats et courriers)

-Dématérialisation des fiches de paie

-Dématérialisation des marchés publics : appels d’offre et commandes

-Nouvelles solutions de Gestion Electronique de Documents.

-Problématiques et enjeux de la dématérialisation

- Capture – Stockage : la 1ère étape de la dématérialisation

- Archivage légal

-Coffre-fort électroniques, signature, certificats : dématérialiser en toute confiance.

-Environnement légal de la dématérialisation

-Nouvelles technologies pour la dématérialisation

-Gérer les grands projets de dématérialisation : stratégies de mise en œuvre.

-La dématérialisation par fonction : e-RH, e-achat, e-business collaboratif.

-EDI, WebEDI, ebXML : standards et protocoles d’échanges de la dématérialisation

-ECM - BPM : des flux aux process

-Gestion des flux financiers dématérialisés pour l’entreprise.


- Stockage, archivage et récupération des e-mails

- Le « Green IT » pour les projets et solution de GED

-Les Votes en ligne sécurisés (conseils d’administration, …)

- Solutions open source pour la dématérialisation.

- Virtualisation des systèmes d’information


> Source image

samedi 14 novembre 2009

6ème édition du salon DEMATERIALISER

Les 1er et 2 décembre 2009, à l’Espace Grande Arche de la Défense, Paris la Défense




La 6ème édition du salon DEMATERIALISER, récemment rebaptisé DEMAT’EXPO, se tiendra les 1er et 2 décembre prochains, à la Grande Arche de la Défense. Organisé par E-Business Events en partenariat avec la FNTC (Fédération Nationale des Tiers de Confiance), cet événement réunira, comme à chaque fin d’année, les meilleurs spécialistes de ces nouveaux processus (70 exposants sont aujourd’hui annoncés), processus toujours méconnus quoique devenus incontournables pour l’entreprise et les collectivités.

De la numérisation du document, la normalisation de son format de stockage puis de son format d’échange, à la certification des usagers et la mise aux normes de son archivage légal, la totalité des rouages de la dématérialisation, et leur influence sur le fonctionnement de l’ensemble des industries, sera couverte pendant les deux jours de salon et de conférences.

L'art de l'hébergement des applications critiques

Pour une entreprise qui utilise des applications critiques en ligne, choisir le bon hébergement d'application critique et déterminer quel type d'hébergement de serveurs dédiés. 

Cet article est dédié à l'hébergement critique et ses avantages.




Ce choix est fondamental et relève de la stratégie technologique : Hébergement serveur dédié, Hébergement sites web, Hébergement avec engagement de services.

L'engagement de service d'un hébergement critique est notamment au cœur de la performance des serveurs d'hébergement d'applications critiques, car au-delà du choix technologique et de l'excellence de tel ou tel serveur, c'est le jour homme qui sera le plus important en cas de problème.

L'hébergement critique devient un impératif pour tout site souhaite se développer rapidement, notamment pour un site de e-commerce, l'hébergement critique s'impose !

L'engagement de service dans le cadre d'un hébergement critique avec serveur dédié est très importante et il faut veiller à ce point avant d'avancer plus loin.

> En savoir plus sur les hébergements critiques

Passez à la dématérialisation des bulletins de paie !

Le Code du travail modifié par la Loi du 12 mai 2009 consacre[1] la possibilité pour les employeurs de remettre un bulletin de paie aux salariés sous forme électronique. Afin de contribuer à l’essor de la dématérialisation des échanges et au développement de l’économie numérique, la Fédération Nationale des Tiers de Confiance (FNTC) publie les 15 bonnes raisons de passer à la dématérialisation des bulletins de paie ou plus exactement la dématérialisation de la remise du bulletin de paie. Ce texte est le résultat de la réflexion collective menée depuis juin 2009 par le groupe de travail « ePaie » de la FNTC.


Pour le salarié


1 – Le bulletin de paie sous forme électronique, facilement duplicable, représente une protection contre les pertes ou destructions
, par exemple dans les cas de déménagements.

2 – Le bulletin de paie électronique peut être accessible à distance et donc immédiatement disponible au moment où on en a besoin.

3 – Le bulletin de paie électronique facilite l’exercice des démarches en ligne en limitant les cas où une copie de cette pièce justificative doit être adressée par courrier postal.

4 – La dématérialisation des bulletins de paie facilite la conservation en s’appuyant sur des solutions plus efficaces que la traditionnelle boîte à archives incomplète et mal rangée. 

5 - La dématérialisation des bulletins de paie permet une utilisation identique au bulletin papier tout en apportant de nouveaux services.
 
Pour l’employeur

6 – La dématérialisation des bulletins de paie contribue à la réduction des coûts sur les postes de dépense impression, mise sous pli, voire affranchissement.

7 – La dématérialisation des bulletins de paie permet au service Ressources Humaines d'optimiser ses processus de gagner du temps pour l’accès à l’information ou la production de duplicatas.

8– La dématérialisation de la production des bulletins de paie est déjà une réalité dans les entreprises. La nouvelle Loi permet juste de mettre en oeuvre la dématérialisation complète avec, en bout de chaîne, la remise du bulletin de paye sous forme électronique. 

9 – La dématérialisation des bulletins de paie est une opportunité pour les entreprises de cultiver une image innovante, dynamique et attractive en phase avec les nouveaux comportements liés aux technologies numériques.

10 – La dématérialisation des bulletins de paie est un point d’entrée idéal pour démarrer un projet de portail Ressources Humaines 

11 - La dématérialisation des bulletins de paie constitue une opportunité pour mettre en place ou réexaminer la conformité de l’archivage électronique des exemplaires employeur.
 
Pour l’employeur et le salarié

12 - La dématérialisation des bulletins de paie permet de garantir avec certitude l’identité entre l’exemplaire de l’employeur et celui de l’employé

13 -
La dématérialisation des bulletins de paie est une occasion pour l’entreprise de mettre à disposition du personnel un espace personnel sécurisé (ou coffre-fort électronique)

Pour les organismes tiers

14 – La dématérialisation des bulletins de paie rend possible la création ou l’amélioration de nouveaux services comme les demandes de crédit en ligne.
D'ici peu, les institutions publiques (Assedic, ANPE, Caisses de Retraite, Cnav, CAF, Impôts…) et privées (sociétés de crédit, de location…) exigeront des bulletins de paie électroniques certifiés afin de réduire les délais, les coûts de traitements des dossiers et réduire la fraude dont elles sont victimes.

Pour la société

15 – La dématérialisation des bulletins de paie représente une contribution au développement durable
par la réduction de l'empreinte écologique.
 
   
[1] « Lors du paiement du salaire, l'employeur remet aux personnes mentionnées à l'article L.3243-1 une pièce justificative dite bulletin de paie. Avec l'accord du salarié concerné, cette remise peut être effectuée sous forme électronique, dans des conditions de nature à garantir l'intégrité des données ».




10 IDEES FAUSSES A PROPOS
DE LA DEMATERIALISATION DES BULLETINS DE PAIE


Le Code du travail modifié par la Loi du 12 mai 2009 consacre [1] la possibilité pour les employeurs de remettre un bulletin de paie aux salariés sous forme électronique.
Afin de contribuer à l’essor de la dématérialisation des échanges et au développement de l’économie numérique, la Fédération Nationale des Tiers de Confiance (FNTC) publie les 10 idées fausses à propos de la dématérialisation des bulletins de paie ou plus exactement sur la dématérialisation de la remise du bulletin de paie. Ce texte est le résultat de la réflexion collective menée depuis juin 2009 par le groupe de travail « ePaie » de la FNTC.
 
1 – « Encore une contrainte qu'on nous impose » - FAUX

La nouvelle Loi consacre pour l’employeur la possibilité de le faire et le salarié concerné doit donner au préalable son accord.

2 -  « Le papier, c'est plus sûr » - FAUX

La mise en œuvre des technologies de confiance telles que la signature électronique, l’horodatage ou les empreintes d’intégrité, prévient la falsification et la rend plus facilement détectable.

3 – « Le cadre juridique n'est pas encore arrêté » - FAUX

Le cadre juridique déjà défini depuis 2004 a été précisé par la loi n°2009-526 du 12 mai 2009 de simplification et de clarification du droit et d’allègement des procédures. Le Code du travail a été modifié en conséquence.

4 – « On ne pourra jamais conserver les paies électroniques plusieurs dizaines d'années » - FAUX

Il existe des formats normalisés et des moyens éprouvés permettant un archivage de longue durée.

5 – « Cela ne marchera jamais pour ceux qui changent d'employeur » - FAUX

Les solutions d’archivage électronique de qualité ont été conçues pour garantir le transfert en toute sécurité de l'intégralité des archives électroniques.

6 – « En tant que salarié, cela va me compliquer la vie » - FAUX

Quand on a besoin d’une copie papier, il suffit d’imprimer et rien ne change. Pour diffuser un exemplaire en ligne, plus besoin de numériser au préalable.

7 – « C'est la fin de la vie privée » - FAUX

Avec des dispositifs d’authentification, de traçabilité, voire de chiffrement, la protection des données personnelles est mieux assurée qu’avec la traditionnelle enveloppe qui reste traîner sur les bureaux.

8 -  « C'est très simple. il suffit juste d'envoyer à l'employé un simple fichier par email » - FAUX

Il ne faut pas oublier la protection des données personnelles du salarié, la garantie d’intégrité sur les données et le support que l’entreprise peut procurer au salarié pour qu’il bénéficie d’un archivage électronique de qualité.

9 – « C'est très compliqué. Sa mise en place va encore être une usine à gaz »- FAUX

Le texte de Loi est suffisamment synthétique pour favoriser la mise en œuvre de solutions pragmatiques fondées sur des organisations et des technologies largement diffusées comme celles reposant sur la norme NF Z42-013.

10 – « Il n'existe pas encore d'offres dignes de ce nom » - FAUX

Les applications existent, elle sont éprouvées et standardisées. Les professionnels de la confiance ont déjà mis en place depuis plusieurs années la dématérialisation des factures, des appels d’offres, des contrats, etc. Le groupe « ePaie » de la Fédération Nationale des Tiers de Confiance qui regroupe des spécialistes de l’impression en masse des bulletins de paie, des éditeurs de coffre-fort électroniques, des spécialistes de la signature électronique, les experts-comptables, des juristes,  dispose de toutes les compétences pour définir les bonnes pratiques sur lesquelles reposent les offres des prestataires de confiance.




 
[1] « Lors du paiement du salaire, l'employeur remet aux personnes mentionnées à l'article L.3243-1 une pièce justificative dite bulletin de paie. Avec l'accord du salarié concerné, cette remise peut être effectuée sous forme électronique, dans des conditions de nature à garantir l'intégrité des données ».
 

vendredi 13 novembre 2009

Les Etats-Unis mettent à jour leur politique haut débit


Les "National Institutes of Health" (NIH) vont financer le développement d'un réseau social professionnel à destination des scientifiques dont le but est d'améliorer les collaborations en recherche biomédicale, et d'accélérer les découvertes. Sept universités vont recevoir 12.2 millions de dollars pour mettre en place ce réseau appelé "VIVOweb", destiné à être étendu par la suite au reste des Etats-Unis.

Le réseau "VIVOweb" sera basé sur la technologie "VIVO", développée à l'Université Cornell (New York) depuis 2003. VIVO concentre les informations disponibles publiquement sur les personnels, départements, domaines d'étude, équipements de l'Université Cornell. Elle a permis la construction d'un réseau de scientifiques qui répertorie leurs projets et permet d'initier de nouvelles coopérations. VIVO sert à trouver des collaborateurs localisés dans différents services disséminés sur le campus, en se libérant des cloisonnements administratifs et en créant un seul point d'accès pour les interactions académiques. Le réseau "VIVOweb" sera national et comparable à un réseau "Facebook" pour scientifiques. Il vise à améliorer significativement l'exploitation des informations scientifiques, à comparer les recherches en cours dans d'autres institutions de recherche, à renforcer les collaborations en recherche translationnelle, et à faciliter les recherches multidisciplinaires.

Le fonds de 12.2 millions de dollars alloué au projet "VIVOweb" provient du plan de relance de l'économie du Président Obama [1], et est distribué à travers le "National Center for Research Resources" des NIH. Les universités impliquées sont:
- l'Université de Floride qui assurera le développement des technologies garantissant la mise à jour des données
- l'Université d'Indiana à Bloomington qui développera des outils d'interconnexion pour permettre aux chercheurs d'interagir selon leurs centres d'intérêts. Ying Ding, maître-assistant en science de l'information, à l'Université de l'Indiana, sera responsable du développement d'ontologies (réseaux sémantiques regroupant un ensemble de concepts liés les uns aux autres par des relations de hiérarchisation et de sémantique).

"VIVOweb" sera mis en place dans quatre institutions -l'Institut de Recherche Scripps (Floride), l'Ecole de Médecine Ponce (Porto Rico), l'Université Washington à Saint Louis (Missouri), la faculté de Médecine Weill Cornell - avant son déploiement sur tout le territoire.

Ce réseau devra se démarquer des initiatives existantes, telles que "Biomed Experts", "SciLink", "Epernicus", "Laboratree" et " OpenWetWare" :
- Les réseaux sociaux "Biomed Experts" et "Scilink" qui existent depuis plusieurs années et regroupent des scientifiques du monde entier, sont basés sur les publications scientifiques et permettent aux chercheurs de se rencontrer et de collaborer en ligne.
-"Epernicus" est un réseau professionnel scientifique mis en place au MIT et à Harvard.
- "Laboratree" a été mis en place par le centre de biologie computationelle et bioinformatique de l'université d'Indiana.
- "OpenWetWare" est également un réseau servant à promouvoir le partage d'informations entre les chercheurs et les spécialistes en biologie et bio-ingénierie.

Ces nombreux sites de réseaux scientifiques fonctionnent de manière indépendante, et ne rencontrent pas de réel succès. Pour certains, il serait souhaitable que "VIVOweb" constitue un aggrégateur d'informations, qui utilise les réseaux existants et tire profit des informations déjà enregistrées par les scientifiques, plutôt qu'un réseau supplémentaire, copie de ce qui existe déjà.

Le réseau "VIVOweb" pourrait être mieux adopté par les chercheurs, étant soutenu financièrement par les NIH à hauteur de 12.2 millions de dollars, et basé sur une plate-forme déjà mise en place avec succès par l'Université Cornell. Néanmoins, il faut noter que le financement est accordé pour deux ans seulement. Quelles seront les ressources financières et matérielles nécessaires pour maintenir le réseau Vivoweb actif , et le développer au niveau national ? Les prochains mois seront déterminants et "VIVOweb" n'en est qu'à ses balbutiements.

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[1] Les NIH ont reçu un soutien financier supplémentaire en 2009 sous la forme d'une enveloppe de 10.4 milliards de dollars provenant du plan de stimulation de l'économie ("American Recovery and Reinvestment Act" (ARRA)) du Président Barack Obama. Ce financement à court terme est utilisable dans un délai de deux ans jusqu'au 30 septembre 2010. Il se répartit de la manière suivante:
- 8.2 milliards de dollars sont attribués pour la recherche biomédicale et distribué à travers l'"Office of the Director" pour les Instituts et les Centres des NIH, et le Fonds Commun de financement de la recherche biomédicale (Common Fund for the support of biomedical research). 800 millions de dollars sont distribués pour financer des "challenges" spécifiques et des priorités scientifiques dans les Instituts et les Centres.
- 1.3 milliard de dollars sont alloués au "National Center for Research Resources" pour la construction et la rénovation extra-muros. 300 millions de dollars serviront au partage d'instruments et de grands équipements essentiels.
- 500 millions de dollars sont affectés prioritairement à la construction, l'amélioration, et la réparation du campus des NIH.

jeudi 12 novembre 2009

Recours croissant à l'hébergement externe d'applications

Plus d'un tiers des entreprises se serait déjà lancé dans des projets d'externalisation d'applications, ou envisagerait de le faire d'ici 2008. La tendance est mise en valeur par Markess International. (30/05/2006)





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  Le site
Markess
De 700 millions d'euros en 2005, le marché de l'hébergement en France devrait passer à 820 millions d'euros en 2008, soit une hausse de 5,4%. La tendance est mise en valeur par une étude publiée par Markess International, réalisée au premier trimestre 2006 auprès de 250 entreprises françaises.

Une progression qui concerne en premier lieu le segment des applications, dont la croissance pourrait s'établir à 7,5% - à 460 millions d'euros en 2008 -, devant celui de l'hébergement d'infrastructure (+2,9% à 360 millions d'euros).


Pour l'heure, les applications les plus souvent hébergées à l'extérieur de l'entreprise demeurent les sites Web et les portails non transactionnels. 64% des sociétés interrogées par Markess indiquent avoir déjà menées des projets en ce sens, ou envisager une telle démarche d'ici 2008.

Les applications métier critiques ou stratégiques arrivent juste derrière, avec 34% de réponses positives. Parmi celles les plus souvent externalisées, figurent les outils liés à l'informatique (sauvegarde, stockage, réplication, etc.) et à la gestion des ressources humaines (paie, gestion des temps, etc.), évoqués par 23% des sondés, devant les logiciels de finance/comptabilité (14%), de gestion de la relation clients (13%), et de gestion de la chaîne logistique (8%).

Pour le cabinet d'études, cette évolution devrait assez naturellement entraîner une généralisation des modèles contractuels de convention de services entre clients et prestataires.

Types d'applications concernées par l'hébergement externe d'ici 2008
Site Web et portail non transactionnel

 64%
Application métier critique ou stratégique
 
 36%
Extranet

 35%
Site Web et portail transactionnel

 34%
Application de messagerie

 34%
Application métier non critique /stratégique

 26%
Intranet

 24%
Site de commerce électronique /vente en ligne

 24%
Application collaborative

 19%
Application de téléphonie IP

 12%
Source Markess International 2006

Objectif premier : l'accessibilité de l'applicatif en permanence
Au programme des raisons du recours à l'hébergement d'applications critiques figurent par ordre de priorité : la disponibilité et l'accessibilité de l'applicatif en permanence, la garantie de secours et de reprise après sinistre, l'amélioration de la qualité de service et de la performance, la recherche d'efficacité et de productivité, et l'amélioration de la sécurité.

Partant de ce constat, Markess International prévoit une montée en puissance des critères de choix liés à la performance technique des prestataires, autour de l'infrastructure réseau et de la robustesse des plates-formes proposées notamment. Une tendance que confirme le panel des services auxquels les entreprises ont le plus souvent recours dans le cadre de leur contrat d'hébergement début 2006 : la sauvegarde et la restauration de données (59%) et la sécurité logique (57%).

La décision d'externaliser ? Elle est prise par la plupart des entreprises (49%) dès la phase de définition des besoins, et du choix et de la conception des applications. Ce qui soutiendrait l'idée selon laquelle un projet d'hébergement est lancé à l'occasion du développement ou de la refonte d'un programme.

Phase du recours à l'hébergement d'applications en France en 2006
Lors de la définition des besoins liés à l'application

 34%
Lors du choix ou conception de l'application
 
 15%
Lors de la migration de l'application

 11%
Après avoir hébergé en interne une application

 11%
Lors du déploiement de l'application

 3%
En phase de maintenance de l'application

 2%
Source Markess International 2006

Novaxel explique la dématérialisation aux TPE et aux PME pendant la journée de l’e-entreprise.


LYON, le 12 novembre 2009 – NOVAXEL, numéro un de la GED intuitive annonce sa participation à la Journée de l'e-entreprise le 17 novembre de 9h00 à 18h00 à la Bourse de Commerce (2 rue de Viarmes - Paris 1er). Cette journée est l'occasion pour NOVAXEL d'expliquer de façon concrète l'intérêt de la dématérialisation, et notamment de la gestion électronique de documents, aux TPE et aux PME pour qu'elles en comprennent mieux le fonctionnement et les bénéfices.La présence de NOVAXEL à cette manifestation - soutenue par l'ADEME et organisée par ChamberSign et la CCI de Paris – a également pour vocation de faire découvrir et de présenter les applications de la dématérialisation en abordant les questions de développement durable et de respect de l'environnement auxquelles contribue la dématérialisation des documents.

Il est important d'informer, de sensibiliser et de responsabiliser les entreprises sur les solutions techniques capables de répondre à une double problématique économique et écologique : réduire l'utilisation de papier présente plusieurs bénéfices, notamment la réorganisation des postes de travail, la sécurisation des échanges, les économies de papier, de frais postaux et de temps, sans oublier un potentiel retour sur investissement.

Dans cette logique, il y aura ZERO PAPIER durant l'événement - à la place une clé USB sera remise aux 1000 premiers visiteurs pour qu'ils puissent récolter les informations tout au long du parcours organisé sous forme d'ateliers découverte.
INSCRIPTION SUR LE SITE DE LA CCIP :
http://www.ccip.fr/Salon-de-l-e-entreprise--176/rubrique-fil_info/num_actu-1479.htm

vendredi 6 novembre 2009

La dématérialisation et l'hébergement à l'étude

Documalis présent à la journée de la dématérialisation organisée par Chambersign et la CCI de Paris le 17 novembre 2009.

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Nantes, le 4 novembre 2009 – Documalis, éditeur de solutions innovantes de numérisation tactile, sera présent sur le premier parcours pédagogique « vert » organisé par Chambersign et la CCI de Paris, regroupant les principales applications de la dématérialisation à destination des TPE, PME et Grands Comptes. Cet évènement inédit se déroulera le 17 novembre prochain de 9h00 à 18h00 à la Bourse de Commerce (2 rue de Viarmes - Paris 1er). Choisi par les organisateurs en tant qu'acteur clé de la dématérialisation des documents depuis de nombreuses années, proposant des solutions toujours plus ergonomiques, performantes et faciles à installer (concept de box « prête à brancher »), Documalis profitera de cette occasion pour proposer aux visiteurs des démonstrations interactives de ses solutions de dématérialisation des Factures et des Courriers.

Cette journée, la première en son genre, innovera en proscrivant la distribution de documents d'origine papier au cours de son déroulement. Pour permettre aux visiteurs de récupérer des informations sur le salon, une clé USB de 1 Go sera remise aux mille premiers visiteurs.

Pour l'occasion, Documalis mettra à disposition gratuitement sur son stand « Documalis Express », sa solution packagée de gestion électronique de Document comprenant de nombreuses fonctionnalités telles que numérisation, OCR, PDF, LAD, RAD, Ged et Workflow. Documalis Express s'adresse principalement aux TPE/PME et professions libérales en répondant de façon adaptée aux besoins de ces types de structure. Simple, ergonomique, vendue sous forme de logiciels, en Box ou en service hébergé sur Internet (SAAS), sa modularité lui permet de remporter un vif succès auprès du public.

Le 17 novembre prochain, toute l'équipe Documalis vous attend sur son stand et elle se fera un plaisir de vous présenter ses dernières solutions innovantes en matière de dématérialisation des documents.

Inscription à la journée : http://eve.ccip.fr/uploads/_pfaccip/eve/Journee_de_l_e-entreprise_v1.pdf

Les différentes solutions de la gamme Documalis :

• Solution Courrier : gestion de la chaine de traitement du courrier en mode numérique, numérisation, reconnaissance, distribution, suivi et réponses aux courriers, télécopies et emails.
• Solution Factures : gestion de la chaine de traitement des factures fournisseur, bons de commande et bons de livraison, incluant RAD, LAD, transformation PDF avec OCR, vidéo-codage…
• Solution Parapheur Electronique : dématérialisation, transformation PDF, présentation des documents, signature électronique, archivage dans la GED et coffre fort électronique.
• Solution GED : gestion documentaire complète d'entreprise, interservices avec archivage local ou distant, recherches en modes plein texte, plan de classement, arborescence ou multicritères.
• Solution Collaborative : Workflows documentaires et décisionnels entre utilisateurs, selon une logique prédéfinie, dynamique ou libre selon la demande des utilisateurs, présentation des documents PDF, signature et traçabilité intégrée.
• Solution Archivage : stockage à très long terme des documents numériques sur supports physiques, optiques ou microfilms incluant une traçabilité intégrale des documents.
• Solution de Numérisation : Mise en place de solutions professionnelles de numérisation en haute volumétrie (papier, microfilms, microfiches, séparateurs, lots …) et logiciels de traitement d'image, PDF, OCR adaptés aux volumes extraits.